Ce mois-ci, les Langues de Fronde avaient envie de se (et de vous ?) faire rêver ! Si l’on passe nos journées le nez dans des récits de survivant·es de violences masculines, de décomptes de féminicides, dans le décorticage des mille formes que prend l’oppression patriarcale, c’est a priori parce qu’on pense qu’il y a mieux. Ailleurs, plus tard, autrement, quelque part, il y a un mieux qui nous attend. Mais c’est quoi, ce « mieux » ? Quels sont les récits qui nous font imaginer une autre (…)