Cette semaine, on avait envie de parler d’allié.e.s.
Pas ceux de la seconde guerre mondiale, mais plutôt l’Allié.e avec un A majuscule, celui ou celle qui apparaît depuis quelques années comme une figure de nos luttes et de nos collectifs. Celle ou celui qui apporte son soutien aux "personnes concernées" (sous-entendre concernées par des rapports d’oppressions que l’allié.e, lui ne subit pas).
En fait, on a surtout eu envie d’interroger cette notion d’allié.e, de la tordre un peu dans (…)
